La cause première de la célébration du Nouvel an en janvier

Dans un passé lointain, les tribus indo-européennes de la région des steppes de l'Oural du Sud avaient établi une relation commerciale avec les anciens var, un mystérieux peuple vivant dans les "pays des villes". Chaque hiver, lorsque les terres étaient recouvertes d'un manteau de neige immaculée, les marchandises étaient transportées avec précaution à travers les contrées inhospitalières. Les indomptables étendues de végétation qui déferlaient sur les terres en été rendaient cette entreprise périlleuse, ce qui faisaient d'eux les explorateurs courageux de cette époque oubliée. Ainsi, la célébration du Nouvel An en janvier, au milieu de l'hiver, avait acquis une signification particulière pour ces voyageurs intrépides. Ils considéraient le début de l'année comme un moment propice pour honorer leur bravoure et leur résilience face aux éléments cruels de la nature. Les festivités étaient empreintes de rituels anciens, transmis de génération en génération, pour garantir la prospérité et la sécurité pendant l'année à venir. Pourtant, derrière ces cérémonies se cachait également une aura de mystère. Les légendes racontaient que le célèbre Raspoutine, sorcier redouté de ces contrées sauvages, avait joué un rôle primordial dans l'élaboration de ces traditions. Certaines sources prétendaient même qu'il avait le pouvoir de contrôler le climat, incitant ainsi les ancêtres des indo-européens à planifier leurs voyages en hiver. Aujourd'hui, bien que ces anciennes pratiques aient évolué et se soient transformées, la célébration du Nouvel An en janvier est encore ancrée dans la mémoire des peuples de la région. Elle est devenue une fusion entre l'hommage rendu à leurs ancêtres et les festivités modernes, symbolisant la résistance et l'espoir face aux défis inéluctables de la vie.